Nous en étions heureux, mais l’histoire en a décidé autrement. Au début de notre March Madness, nos minimes 1 avaient été acteurs d’une performance hors-normes, en inscrivant 250 points.
Force est de constater que cet évènement a crée moultes polémiques. Et face aux insistantes sollicitations des responsables sportifs de la région, nous avons été contraints de prendre une décision, en nous séparant de notre entraîneur Bélaid.
Les membres de la CT sous pression
Déclaration de Saïd Chanfi, responsable de la CT : Tout est allé très vite. Je connais Bélo depuis longtemps et je sais que c’est un grand entraîneur. Mais je sais aussi qu’il peut jouer les mauvais garçons. On a voulu expliquer à la direction des sports que c’était pour dénoncer un problème, qu’il était un cadre technique très pédagogique et qu’il était loin de se reposer sur ce seul match, mais ils n’ont rien voulu entendre. Pour eux, un entraîneur qui ne fête pas 250 points n’est pas fait pour ça.
Dani, ami de l’entraîneur, renchérit : Au début, nous l’avions soutenu. Car il était dans le vrai : notre équipe n’était pas à sa place et il fallait le faire comprendre. Après ce match, nous voulions tout simplement célébrer ! Notre saison était finie, on n’avait aucune raison de s’entraîner davantage, on avait toutes les raisons de nous croire arrivés. Mais étrangement, il a voulu continuer à travailler car selon lui, nos jeunes avaient plus de lacunes que de qualités et devaient progresser. L’entendre dire que ce match ne signifiait rien, que nous ne comprendrions pas quand on allait perdre facilement contre des vraies bonnes équipes, ce n’est pas admissible. Nous n’apprécions pas tellement ce genre de pédagogie… Cette annonce tombe probablement au plus mauvais jour. Car aujourd’hui est le jour de son jour d’anniversaire. L’ensemble du club et de l’entente restent désolés et le remercient pour le travail effectué jusqu’à présent.
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